Comme je l'avais écrit à Claude, il n'était vraiment pas bien physiquement et surtout moralement. Je suis resté assez proche de lui et de sa famille et c'est sa mère qui m'a téléphoné samedi matin.
Dans ce que je suis et ce que je crois, je suis sûr qu'il est libéré de tout ce qui l'empêchait de vivre et d'être heureux depuis tant d'années.